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Journée mondiale des malades
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Journée mondiale des malades

11 février, fête de Notre-Dame de Lourdes

Au long de sa vie terrestre, Jésus a toujours manifesté une prédilection pour les malades : « Parcourant la Galilée, il enseignait dans leurs synagogues, proclamait la Bonne Nouvelle du règne de Dieu et guérissait toute maladie et toute infirmité parmi le peuple. »

Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu, chapitre 4, verset 23.

L’Église, à la suite du Christ, attache beaucoup d’importance à la visite des malades et des personnes âgées.
Celle-ci incombe à toute communauté de chrétiens et particulièrement à la communauté paroissiale. 

Elle constitue une démarche gratuite et amicale qui ravive l’espérance en celui qui la reçoit.
Et dans une perspective de foi, visiter un malade, c’est visiter le Christ : « J’étais malade et vous m’avez visité. » (Matthieu 25, 36) L’onction des malades est, comme tout sacrement, rencontre du Seigneur, mort comme nous pour que nous ressuscitions comme lui.

Chaque année, le 11 février, en la solennité de Notre Dame de Lourdes, est célébrée la journée mondiale des malades et des soignants. C’est une occasion de prier pour les malades, leur conférer l’onction des malades, les accompagner dans le sacrement de la réconciliation et prier pour les soignants et tous ceux qui sont au service des malades.

Ainsi le sacrement des malades aide :

  • Pour un réconfort dans la souffrance ;
  • Pour un soutien dans l’épreuve ;
  • Pour recevoir la Paix du Seigneur ressuscité ;
  • Pour demander la guérison que Dieu peut donner (peut-être autre que celle qui est attendue !).

Message du Pape François pour la 31e journée des malades

« Prends soin de lui ».
La compassion comme exercice synodal de guérison

Chers frères et sœurs !

La maladie fait partie de notre expérience humaine. Mais elle peut devenir inhumaine si elle est vécue dans l’isolement et dans l’abandon, si elle n’est pas accompagnée de soins et de compassion. Quand on marche ensemble, il arrive que quelqu’un se sente mal, qu’il doive s’arrêter en raison de la fatigue ou d’un incident de parcours. C’est là, dans ces moments-là, que l’on se rend compte de la façon dont nous cheminons : si réellement nous cheminons ensemble ou bien si l’on est sur la même route, mais chacun pour son compte, ne s’occupant que de ses propres intérêts et laissant les autres “s’arranger” comme ils peuvent. Par conséquent, en cette XXXIème Journée Mondiale du Malade, au beau milieu d’un parcours synodal, je vous invite à réfléchir sur le fait que c’est précisément à travers l’expérience de la fragilité et de la maladie que nous pouvons apprendre à marcher ensemble selon le style de Dieu, qui est proximité, compassion et tendresse.

Dans le Livre du prophète Ézéchiel, dans un grand oracle qui constitue un des points culminants de la Révélation, le Seigneur parle ainsi : « C’est moi qui ferai paître mon troupeau, et c’est moi qui le ferai reposer – oracle du Seigneur Dieu. La brebis perdue, je la chercherai ; l’égarée, je la ramènerai. Celle qui est blessée, je la panserai. Celle qui est malade, je lui rendrai des forces […] je la ferai paître selon le droit » (34, 15-16). L’expérience de l’égarement, de la maladie et de la faiblesse fait naturellement partie de notre chemin : ils ne nous excluent pas du peuple de Dieu, au contraire, ils nous placent au centre de l’attention du Seigneur, qui est Père et ne veut perdre en chemin pas même un seul de ses enfants. Il s’agit donc d’apprendre de lui, pour être véritablement une communauté qui chemine ensemble, capable de ne pas se laisser contaminer par la culture du rejet….

Lire la suite du message du pape François

P.O

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